mercredi 23 juillet 2008

C'est mon placard rien qu'à moi



C'est en fouinant que l'on trouve des fringues souvent excentriques mais peu chères dans tous les dépôts ventes dont regorge notre Paris. En plus que parfois c'est de la marque(mais bon on est pas là pour aller regarder l'étiquettedans votre dos) !

Bon ok c'est des vieilles (il faut encore rajouter un "vieilles" je pense) collections mais alors? Au moins on est sûre de pas croiser la fille avec la même robe H&M qu'on a achetée en soldes assise juste en face de moi dans le métro (qu'est ce qu'on a l'air con).

Et puis ça fait du bien au porte-monnaie comme qui dirait.

lundi 21 juillet 2008

La touche!


L'éternelle robe noire qui va avec tout et qui se met avec tout, que l'on sort aussi bien en hiver qu'en été, et que ca fait quelques années et qu'on ne peut pas s'en séparer. En fait, ce qui est génial, c'est qu'elle se met avec n'importe quoi (mais ca vous le savez déjà).

Pour donner le petit côté bohème le foulard style hippie noué autour de la taille, et sous les seins s'il vous plait! Bah oui faut bien donner un effet de grandeur, surtout quand on mesure 1,60m.

Et tout cela agrémenté par les éternels (eux aussi) escarpins noirs vernis!

lundi 14 juillet 2008


Sainte Perrine,
Dieu seul sait le nombre de fois où je me suis étendue entre deux cours pour me prélasser au soleil. Dire qu'aujourd'hui tout ce que tu m'inspire c'est la nostalgie du lycée, celle où on fumait sans trop savoir pourquoi, celle où on ne se demandait pas trop où la vie nous mènerait,...
C'est toujours le même rituel: on s'assoit, puis au lieu de rester qu'une heure on reste jusqu'à la fermeture du parc en tirant sur les derniers rayons de soleil. C'est vrai qu'avec un terrain en pente, on s'endort facilement sur ton herbe toujours bien tondue qu'on ne se lasse pas de passer ses doigts entre. Ca sent toujours bon l'herbe, et moi qui d'habitude n'aime pas trop, et bah là sans soucis je m'allonge sur ce tapis verdoyant, en plus qu'il n'y a même pas de petites bêtes. C'est au fond un parc comme les autres, avec ses terrains de jeux où se donnent à pleins poumons de petits enfants sous l'oeil de la nourrice, avec ses petits vieux qui observent les enfants en se remémorant les jours heureux, et avec ses jeunes qui ne remarquent même pas leurs présence, trop préoccupés par la nicotine et l'amour. Promis, je reviendrais poser mes fesses (c'est toujours elles qui laissent une trace de passage). Bientôt
11 Rue Chardon-Lagache Paris 16